Mexico Mexico fût présentée dans le cadre de l’ouverture du musée, l’exposition présentait l’éventail le plus étendu et le plus significatif possible des productions populaires du Mexique. A différents endroits du musée, le visiteur pouvait découvrir, des pinatas, des peintures de calendrier, des masques, des ex-voto, un choix d’objets modestes scénographiés, sans compter un ensemble d’objets populaires prêté par le Museum Of International Folk Art de Santa Fé et la première exposition en France d’un jeune artiste contemporain mexicain, Eduardo Abaroa.
L’art modeste ne connaît pas de frontières, on peut en trouver des traces dans un boui-boui d’Accra, à Bombay comme à Hong-Kong, à La Havane comme à Porto Novo. Il existe une véritable Internationale de l’art modeste et le musée se propose de les fédérer. C’est pourquoi le MIAM a décidé de mener une politique d’ouverture et d’amener au sein d’une presqu’île singulière des images et des objets venus d’ailleurs.
Cette politique d’ouverture aux mondes est inaugurée par une exposition dont le Mexique est le premier invité.
Le MIAM a choisi, pour son ouverture, de lui accorder une place centrale en présentant l’éventail le plus étendu et le plus significatif possible des productions populaires de ce pays. Seront donc présentés, à différents endroits du musée, des pinatas, des peintures de calendrier, des masques, des ex-voto, un choix d’objets modestes scénographiés, sans compter un ensemble d’objets populaires prêté par le Museum Of International Folk Art de Santa Fé et la première exposition en France d’un jeune artiste contemporain mexicain, Eduardo Abaroa.
Commisariat : Hervé Di Rosa & Frédéric Roux